Catégorie : Cas d’étude

Quelques cas d’études de projet web :

Comment inventer un produit : le V’clic d’Etienne leborgne

Étienne est un lecteur régulier de ce blog. Il m’a contacté pour me demander une faveur. Il voulait savoir si je pouvais l’aider à faire connaitre son invention. À la base septique, j’ai découvert qu’il avait un vrai projet. Son invention bien qu’intéressante, n’est qu’une excuse pour nous faire découvrir sur ce blog un monde difficile. Ce jeune homme nous livre son histoire d’inventeur et ce qu’il a du faire pour développer son projet. Vous pourrez lire ci-dessous l’interview de son parcours. Nul doute que ça en inspirera plus d’un, en tout cas c’est ce que je souhaite ! « A vélo dans Paris on dépasse les taxis, à paris à Vélo on dépasse les autos » Joe Dassin   Qui es-tu ? Je m’appelle Etienne Leborgne,  j’ai 24 ans et suis tout juste diplômé d’une école d’ingénieurs. Mais avant tout je suis un créatif qui aime l’aventure ! C’est dans cette voie que j’ai voulu continuer mon projet professionnel : l’aventure de la création Curieux et inventif, j’ai remporté trois projets d’innovations. Le premier concours gagné en 2007 au Salon Européen de la Recherche et de l’Innovation portait sur un système mettant en pause la musique de tout appareil musical lors de la réception d’un appel sur son téléphone portable. J’ai imaginé pour le deuxième concours organisé par le groupe SEB Electroménager une balance de cuisine étanche capable notamment d’afficher sur un écran LCD des recettes importées d’internet. En septembre 2012, j’ai été le lauréat d’un concours organisé par la société Renault pour une application multi-outils pour Smartphone permettant principalement d’expliquer à tous les mécanismes d’une voiture. Lors de  chacun de ces projets, réalisés seul ou en équipe, j’étais au final légèrement frustré de ne pas pouvoir poursuivre le développement des projets par moi-même. J’ai donc demandé d’effectuer mon projet de fin d’étude

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Pourquoi le taux d’ouverture de ma newsletter est deux fois supérieur à la moyenne

Ma newsletter fonctionne avec Aweber et le système des messages follow-up. J’ai écrit deux grands articles détaillés sur la façon de mettre en place cette méthode, je vous invite à les consulter si cela n’est pas déjà fait. Le but de ces messages Follow up ne consiste pas à parler des actualités de mon site ou des derniers articles publiés, mais d’offrir encore plus de bonnes informations à mes lecteurs tout en leurs rappelant mon existence. Le terme “Newsletter” ne s’avère donc pas très approprié. Ces messages envoyés automatiquement une fois par semaine comportent des trucs et astuces pour améliorer sa productivité, ses sites ou encore ses connaissances. J’inclus souvent un lien vers un article lié au sujet qui pointe vers une page spécifique de mon blog. Cette technique permet de faire lire d’anciens articles que de nouveaux inscrits n’auraient pas forcément vus. Utiliser les messages Follow up comme je le fais, multiplie votre taux d’ouverture. Pourquoi ai-je un taux d’ouverture deux fois supérieur à la moyenne et comment faire de même ? I) Un taux deux fois supérieur, vraiment ? D’après l’agence d’analyse Mail Metrics, le taux d’ouverture moyen des e-mails Business to Customers en 2011 était de 22%, et de 29% en 2012. Trainant sur plusieurs forums de webmarketing, je sais que le taux d’ouverture des e-mails tourne entre 15 et 30%, mais bien souvent plus prés du 15 que du 30 ! Mon taux d’ouverture moyen sur les 25 derniers e-mails que j’ai envoyé se trouve entre 40 et 50%. Je vous fournis ci-dessous le screenshot de mon compte Aweber pour vous prouver ce que j’avance. Le taux minimal d’ouverture visible sur ce tableau est de 34% et le maximal, après le message de confirmation de 61%. Ces deux données ne valent pas grand-chose étant donné que

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Interview de Thibault Lamarque, entrepreneur innovant

Ce blog a été créé pour donner les moyens, aux personnes intéressées par l’entrepreneuriat, de se lancer en apprenant des techniques efficaces et gratuites. Mon objectif consiste aussi à me créer un réseau de relation dans le monde de l’entreprise. Il est amusant de voir comme en cinq petits mois, ce blog m’a permis de rencontrer tout un tas de personnes formidable que ce soit en terme de business ou plus simplement de relation amicale. Il y a quelques semaines j’ai publié sur ce blog un article sur les méthodes permettant de trouver son idée d’entreprise (je vous invite à le consulter ici). J’ai parlé dans cet article d’une entreprise innovante dont les produits m’avaient agréablement surpris. Cette entreprise française du nom de Castalie a été créée par Thibault Lamarque il y a quelques années et se développe rapidement. J’ai eu le plaisir d’être contacté par Thibault suite à mon article, et j’ai pensé qu’une petite interview de ce créateur d’entreprise pouvez vous offrir un éclairage intéressant sur la création d’entreprises. Il a accepté immédiatement; je vous livre donc ci-dessous ses réponses, mais avant j’invite tous les lecteurs qui pensent pouvoir apporter de l’information pertinente sur le monde de l’entreprise à me contacter ! Pour l’interview, c’est parti : 1) Thibault, peux-tu te décrire ainsi que ton entreprise  ? J’ai 34 ans. Après des études à Dauphine, j’ai travaillé dans des fonctions financières chez Veolia Environnement et Alter Eco. Castalie est née en avril 2011 avec l’idée de proposer une alternative économique et écologique aux bouteilles d’eau dans les restaurants. Le marché français est très important avec plus d’un milliard de bouteilles d’eau plates et pétillantes consommées dans les CHR (cafés, hôtels et restaurants)  français dans 140 000 établissements. 2) Comment as-tu eu ton idée de création d’entreprises ? J’ai été

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Cas d’étude : le premier échec de demarretonaventure.com

Après 4 mois de vie du blog, le premier échec a pointé son nez. Je n’en suis pas fier, et j’aurai vraiment aimé que mon plan se déroule sans accroc, mais pour de multiples raisons ce n’est pas le cas. J’avais décidé d’innover en créant un double concours, un premier réservé aux blogueurs, et un second pour vous, mes lecteurs. Ce double concours avait pour but de m’amener du trafic et de me faire connaitre un peu mieux sur le net.  Le résultat ? Un échec. En tant qu’entrepreneur, je sais que ça fait partie de la vie, et je ne vais pas m’arrêter pour si peu. Néanmoins, il est important d’apprendre de ses erreurs. Cet article est autant pour vous que pour moi, car vous pourrez peut-être m’apporter des réponses que je n’arrive pas encore à trouver et vous même éviter d’en faire certaines. Nous verrons dans une première partie ce que je projetais de créer, puis dans la seconde les raisons qui ont favorisé mon échec. Je compte sur vous pour m’aider à comprendre celui-ci. I) Innover n’est pas gagner a ) Explication et objectifs L’idée du concours me trottait dans la tête depuis la création de ce blog. Le souci était le suivant : même si je pouvais offrir un prix correct à mes lecteurs et réussir à les faire participer, le concours n’aurait pas une très grande portée étant donné le peu de lecteurs qui me suivent régulièrement (au jour où j’écris ces lignes, c’est 40 à 50 personnes qui passent sur mon blog chaque jour). Je devais donc trouver une solution pour obtenir beaucoup de trafic et ainsi le faire connaître. La solution que j’ai trouvée consistait à créer un second concours, celui-ci réservé aux blogueurs pros. Celui qui m’enverrait le plus de trafic gagnerait

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